Le Bar des Vampires et autres Créatures ...

- Elisabeth, Elisabeth, Elisabeth, ma Pauvre et Chère Femme Il faut quand même que j'aille voir Silas, pour chercher avec lui son monastère (Mais oui, mais oui, il parle tout seul ) *Reprend son manteau de voyage et sort du Bar*

(Oh bah il peut parler alors C'est le cas de le dire Pardon )
*revient vêtue d'une combinaise en cuir trèèès serrée, et trèèès décolttée (j'ai toujours rêvée d'en avoir une ), avec les bottes à talons assorties, s'il vous plaît )
Bah plus personne ?! Okay *s'assoit au Bar, se sert une vodka et attend*

- *Revient dans le bar, avec ... Silas, le visage marqué par une expression de dureté, mais voyant Elisabeth reste cloué sur place, Silas lui en profite pour rapidement faire demi-tour et sortir du Bar d'un pas rapide* Oh Seigneur ... ... ...

*se retourne avec sa coupine vodka, et voyant mais la tronche des deux hommes, lève les bras en l'air en lachant sa vodka*
Arrêtez, promis c'est pas moi, je vous le jure ! Bon si c'était peut-être moi, mais j'avais faim, j'y peux rien, j'ai rien demandé moi ! *crie après Silas* Je vous ai vu hein, pas la peine de vous cacher dehors !*

- *S'approche d'Elisabeth et lui retire toutes bouteilles de vodka des environs* Mon Coeur, vraiment ... c'est très mauvais pour vous la vodka, et vous le savez très bien ! *regarde toujours Elisabeth d'un air ... figé, la détaille de haut en bas, puis déglutit* . . .

Mais je rigolais hein, je sais bien que j'ai fait plein de choses mal Mon Père ? *lui prend son visage entre ses mains* Quelque chose ne va pas ? On vous a fait du mal ?

- Oh non non non, nullement ... c'est juste ... *redétaille Elisabeth de haut en bas, s'arrête longuement sur son décolté trèèèèès profond, un éclair de lubricité passe à travers son regard mais se ressaisit brusquement* rien du tout ! ...

*ne se rend compte de rien, trop inquiète*
Vous êtes sûr ? Bon je vous fait confiance alors, venez vous assoir *se lève et marche lentement jusqu'au canapé, et s'arrêtant pour regarder la porte* Floriane et Lestat ne devraient pas tarder...où est parti Silas ?! Et ce monastère alors ?

( Notons en passant que Floriane dort toujours sur le canapé et que Lestat n'est prévenu de rien, donc il n'est pas le moins du monde au courant qu'il est censé se passé quelque chose au Bar )
- *A soudainement très très chaud et retire son manteau qu'il avait encore sur lui, puis "admire la démarche" d'Elisabeth, secoue vivement la tête, comme pour chasser une vilaine idée (oh bah alors ) de sa tête* Floriane ... Lestat ... Silas ... je sais pas, je sais plus ... tous au monastère ... *Se dit à part lui (tellement heureuse de savoir que ça signifie réellement quelque chose ça ! ) : "Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu ... aidez-moi ... pourquoi ... pourquoi est-t-elle ainsi ... pitié pour elle ... faite quelque chose ... " puis une chanson lui vient en tête "Qu'est-ce qu'il me prend, je me sens soudain, tout drôle, comme si j'avais un oiseau sur mon épaule ... Qu'est-ce qu'il m'arrive aujourd'hui je suis amoureux de ma femme ! Comme au premier jour je suis amoureux de ma femme ... J'ai envie de l'embrasser, besoin de la caresser ... je sens me piquer au coeur, une merveillleuse et tendre douleur " ( Palais Royal, quand tu nous tiens ... )*

(Ah oui exact On va remédier à ça )
*se retourne* Au monastère ? Je ne crois pas non *le regarde, les bras croisés* Mon pauvre époux, je ne sais pas ce qu'il vous arrive, mais c'est inquiétant *court vers lui et lui saute dessus pour l'embrasser* C'est le froid, ça vous congèle les neurones Bon, puisque Floriane dort ici encore (nah ) et que Lestat n'est pas au courant (nah bis ), je vais le chercher Ne bougez pas hein *s'enfuit en courant dans un sous-terrain*
(Whah, elle est trop chou cette chanson !! "Se dire à part soi-même" ? Etrange )

- Mais ... mais ... Soit, si elle veut passer la soirée avec Lestat le jour de mon retour, pourquoi pas après tout ... ... *reste planté sur place, regardant l'espace où elle était juste avant*

(Oui oui, à part soi existe )

(Tu m'en apprends une )
*revient, ayant entendu ses paroles*
Bah, vous voulez plus faire de jeux à quatre ? Je croyais que vous vouliez moi !

- Heu ... c'est comme vous vous ma foi

*se rapproche au plus près de lui*
Bah non, je veux pas que vous soyez triste moi après ! *jete un rapide coup d'oeil à Floriane roupillant sagement comme un petit ange *

- Oh mais non voyons, je désire ce que vous désirez, voilà tout . *Commence à se sentir pas très à l'aise, sa respiration se faisant de plus en plus forte*

Bah moi je désire que vous me disiez ce qu'il ne va pas, parce que vous n'avez pas l'air bien, pas bien du tout ! *va vite lui chercher un verre d'eau et le lui rammène* Tenez, dîtes moi tout. *pose une couverture sur Floriane endormie* Alors ?

- *Pose le verre d'eau par terre* Bien ... en réalité ... vous me troublez plus que jamais Elisabeth ... grâce à l'aide du Seigneur j'arrive à me retenir, mais je suis presque à bout de forces ... Elisabeth vous me torturez d'une si douce torture vous savez ...

! Mais...qu'ai-je fait ?! Quoiqu'il en soit je...je m'excuse platement *s'empresse de lui faire un câlin, puis se rappelant la toute première où ça a dégénéré en eux ( ), le lâche finalement* Mais je vous aime vous savez !

- *Fait appel à toutes ses forces, et garde Elisabeth contre lui, respirant ses cheveux, puis l'embrasse sur la joue et dans le coup, tout en restant maître de lui-même (ça fait très bizarre dit comme ça )*

(C'est vrai qu'une fois écrit c'est étrange )
*l'encert de toutes ses forces et embrasse ce qui est à sa disposition, à savoir son bras*
Vous voulez plus jouer alors ? *relève sa tête vers lui* Si vous voulez pas jouer au Cluedo, c'est pas grave, on fera un (strip) poker !

- *D'un accent écossais (ouais bah hein ! Même si Patrick McKeena et Carlo Ventresca sont irlandais, Ewan lui il est écossais ! :a ) empreint d'une nuance d'italien* Just whatever you want my Sweet Love . *prend son menton du bout des doigts, baisse son visage près d'elle et l'embrasse tendrement*

(Ouah le mélange so...niah )
Mais...j'aime pas décider pour les autres, vous le savez ! *le regarde et "s'enaisie" totalement*

- Certes, mais moi ce n'est pas pareil, et vous savez très bien arriver à vos fins quoi qu'il arrive ! *l'embrasse à nouveau, de plus en plus longuement puis laisse une de ses mains glisser le long du visage d'Elisabeth, suivant la courbe de celui-ci, de son cou, puis ses épaules, puis sa poitrine, puis ses hanches et à ce moment-là la sert encore plus fortement contre lui*

*l'embrasse à son tour, ayant enfin (ding ding ), compris à quoi il pensait*
Padre ! Floriane est là endormie voyons !

( )
- Ah oui, j'avais oublié qu'elle était là ... soit ... *s'éloigne de sa tendre épouse à contre-coeur*